La revue des sciences, c’est fini !

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Comme annoncé depuis janvier et répété dans les dernières revues, la revue des sciences s'est effectivement terminée avec celle du mois d'octobre.

Le blog continue mais il n'y aura donc plus de revue des sciences.

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12 réflexions au sujet de “La revue des sciences, c’est fini !”

  1. Bonjour,

    Je vous lisais depuis des années. Et je trouvais votre travail formidable. Intelligent, remarquable, je pourrais ajouter d'autres mots mais je crois que vous avez saisi l'idée. Ca va beaucoup me manquer de vous retrouver chaque mois, c'était un de mes rituels de lecture. C'était ma manière de m'ouvrir l'esprit à des concepts, des idées.... J'ai toujours trouvé bizarre que vous ne soyez pas plus lu.... mais il y a un certain nombre de choses que je ne comprends pas.
    Merci pour ces belles années

    Caroline

    • Je pensais qu'il s'agissait d'un projet d'avion utilisant une autre énergie que les énergies fossiles. Grosse déception. Ce n'est apparemment pas le cas, ou alors j'ai visionné un peu vite cette vidéo. De toutes façons, l'idée est viciée dés le départ en terme d'hypothèses économiques "nous pensons que le trafic aérien va continuer à croître". C'est sans compter sur l'effet "rebond", c'est à dire l'annulation de l'efficacité énergétique ou même écologique de tel ou tel moyen de transport pris ioslément, par l'augmentation de la fréquence de son utilisation.

      • Il faut effectivement distinguer, comme toujours, selon les lieux et les types d'élevages, de même qu'il faut distinguer les ruminants des poulets (beaucoup plus soutenables). Il n'a jamais été question de supprimer tous les élevages mais de faire le constat que la consommation de viande actuelle ne pourra suivre l'augmentation de la population et le développement des pays les plus peuplés. L'élevage paysan est bien sûr indispensable et à encourager.

        S'il est utile de corriger des généralisations abusives et simplifications d'écologistes dogmatiques, il est plus douteux de penser en savoir plus que les auteurs de l'étude de Nature. En fait on voit le parti pris d'enfumage qu'on retrouve chez d'autres idéologues de prendre l'état actuel d'innovations comme la viande artificielle ou les insectes pour les condamner alors qu'il y a des améliorations rapides. On ne pourra se passer de ces filières plus économes, il ne s'agit pas de faire le malin, c'est inévitable et bon pour les animaux aussi qui devront sinon être élevés en usines. Le simplisme ici est de croire que ce serait l'un ou l'autre.

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