Comme je ne regarde plus les informations répétitives de la télé et que ma box propose d'y voir des vidéos youtube, j'ai découvert avec 5 ans de retard cette série de très bonne musique pleine d'excellentes intentions, "playing for change". On y croit le temps d'une chanson et cela fait du bien, tire une larme à l'oeil - même si cela ne change pas les choses qui vont toujours aussi mal. En tout cas, les bons sentiments peuvent faire de belles oeuvres et passer de bons moments même si cela ne suffit pas à faire de bonnes politiques, hélas.
La chanson titre est sympa mais n'est pas forcément le meilleure, je conseille aussi les suivantes.
(Keith Richard)
Etc. (Down By the Riverside, War/No More Trouble, Gimme Shelter, Blind Man...)
je suis heureux de constater que je ne suis pas le seule attardé dans le secteur , ou si vous préférez dans les traînards ... même si c'est quand même étrange de ne pas regarder la télé sauf à ne pas avoir le temps , et mieux à faire .... la télé de y a 5 ans y est plus vraiment , trop de speed trop de hard core maintenant , mais c'est toujours hallucinant de voir les connerie débiles qu'ils mettent dans la tête des gens ... Debord disait juste : les images d'une époque ne servent qu'à prouver les mensonges de celle ci ... mais après il y a la télé organisé autour de territoires existentiel , comme la brocante , la déco , le design , ... et la télé fée ; aussi c'est amusant ... moi je trouve quand même que la télé nous ressemble assez bien quoi qu'on peut en penser : l’intérêt est au moins sociologique .... mais pas que ... comme toute création humaine au final ... bien sur que le 20 heure a un gout de tazeur , mais il n'y a pas que ça et plus seulement 7 ou 8 chaînes comme pendant longtemps ... même si comme toute les histoire humaine ce que raconte la télé n'a ni queue ni tête ... c'est ce qui fait sans doute notre intérêt pour la chose ... on est pas pour autant des porcs se vautrant dans leur fange... je me souviens d'un ami plasticien qui ne ne jurait que la par les pub télévisées , et c'était pas si bête et bien utile à ce qu'il faisait par ailleurs ...
Oui, ne pas regarder la télé est un péché, c'est ne pas remplir son devoir de citoyen qui est de rester branché sur ce qui se passe (alors que la tv a été considérée longtemps comme l'instrument le plus aliénant). Hegel disait que la lecture du journal était l'équivalent de la prière du matin mais on fait ça avec internet maintenant. Je suis d'accord sur le fait que la télévision est malgré tout un reflet de la société, tout comme la publicité qui rend parfois visible des populations invisibles. Il n'empêche que c'est difficile à regarder, non pas que ce serait propagande comme le voudraient les théories du complot, juste insupportable et insignifiant.
Mon usage de la télévision est principalement liée au canapé où je me détends de l'ordinateur en zappant. Je regarde ce qu'il y a, guère plus sauf exceptions avec de très bonnes émissions, souvent venues de la BBC. Sinon, je regardais le zapping justement, mais il n'y en a plus...
Je me rebrancherais, c'est sûr, mais là on était tellement dans le contre-productif de donner la place d'honneur aux terroristes avec toutes les dérives des politiques. Cela m'a donné des vacances de passer en boucle ces musiques à voir (pour savoir qui joue). Keith Richard est à croquer dans sa prestation de grand père (mais on n'a pas le droit d'intégrer la vidéo). Si j'ai publié ici ces vidéos c'est surtout pour montrer le contraste entre la sincérité des coeurs, dont on ne peut douter, le plaisir qu'on peut y prendre sans que cela n'ait aucune influence sur la réalité de nos divisions sur ce qu'il faut faire.
que les terroristes tiennent les premières places , à la limite c'était inévitable ... bien sûr il y a cette merde d'information en continue ( sur bfmtv ou i télé ou lci ...) où les médias capitalisent par sensationnalisme , et en continue alors quand c'est des scènes d’apocalypses avec en boucle les témoignages filmés de gens en état de choc... et rien d'autre finalement , aucune distance , aucun recul ... et puis cette fascination collective pour la part du diable , des faits divers , des mauvais polars super tendus tous les soirs , mais aussi "plus belle la vie" et des émissions sur des criminels d’affaires résolues ou pas .... ça fait 30 ans déjà ... alors dans ce contexte la cerise sur le gâteau c'est bien le terrorisme .... c'est sans doute comme cela qu'ils nous enferment notamment en faisant passer l'humanité un peu trop pour une saleté... si les choses étaient bien faites au bout de 30 ans on peut penser qu'on soit tous devenus criminologues , mais non ... et loin de là .
mais finalement les choses les plus insupportables de la télé c'est quand elle se fait prescriptrice de produits culturels de "la grande librairie" sur France 5 ( qui rend vraiment les intellos pas sympa et plein de boursouflure , à "on est pas couché" sur France 2 avec (Laurent ruquier) qui est peut être ( car je n'ai jamais regardé canal plus) l'enfer sur terre ... je me demande si avec cette unique tête de con ( ruquier ) on n'explique pas la fascisation des esprits dont tu parles, du moins celle des classes populaires ... par un abrutissement sans limite et un humour insignifiant et débilisant ... il faudra faire dans 10 ans des émission sur ruqier et sont émission du samedi soir , au moment de la beuverie , pour voir comment il enconnarde les uns pour mieux pousser au suicide les autres et engraisser beaucoup trop de salope qui ne le mérite pas , qu'on le tourne en ridicule en long en large et en travers ... la critique des médias est usée jusqu'à la corde depuis le temps mais il y aura sans doute des trucs à tenter ( sans doute un travail de journaliste , de philosophe ou d'artiste vidéo ... ) ... 🙂 !!
les vidéos que tu montre comme appel à l'unité sont effectivement très liantes et pour keith richard , libidinales , sans doute c'est nécessaire un peu de croire que tout le monde est beau est gentil mais à considérer aussi qu'on peut croire l'inverse ( que tout le monde est bête sale et méchant ) et que laisser thanatos s'emparer de la prose peut donner des œuvres intéressantes aussi ... et tout aussi sincères et véridiques .
quant à la politique , pour arriver au manette il faut sans doute rassembler son camp (contre l'adversaire) et exciter ses zones érogènes ...
mais une fois au pouvoir il faut savoir gouverner (ce qui est tout à fait autre chose) , sous la dictature du réel comme tu sembles l'indiquer : donc en ce moment rien de très sympathique ( on est loin du temps de pompidou )... avec en plus un système politique à l'agonie...
pour préciser : sans doute que le traitement médiatique du terrorisme est plus redoutable que le terrorisme lui-même , mais il est peut être tout aussi redoutable (encore que) que les lois sur la sécurité qui suivront... en fait , même si ce sujet n'est pas le centre de la publication de jean , si il y a urgence de se taire , il y a aussi urgence d'un intervention au sol en Syrie et qu'on arrête avec les bombardement aveugles qui font des victimes civiles ce que daesh monte en boucle sur ses vidéos de propagandes ... une information trop répétée se banalise , c'est est sans doute vrai .. on s'y fera mais pas tous : j'ai eu l’occasion de mesurer l'ampleur , dans le mouvement nuit debout , des déserteurs du système : ceux qui ne regardent plus la télé justement et qui pensent aussi qu'ils sont plus utile au chômage qu'au travail ... mais aussi ceux qui restent volontairement au RSA , le plus longtemps possible au chomage ou en viennent à faire une demande d'AAH , de retraite anticipée ... pour tenter d'être utile selon leur propre critères de faire quelque chose d'utile
" la télévision est malgré tout un reflet de la société, tout comme la publicité qui rend parfois visible des populations invisibles. Il n'empêche que c'est difficile à regarder,"
C'est bien parce que c'est le reflet de la société qu'elle est si difficile à regarder !
Quant à "ce qu'il faut faire " on le sait : au vu des enjeux climatiques et sociaux : modifier notre relation au monde ; ce qui suppose une nouvelle organisation de la société ,radicalement différente . (penser l'impensable)
Le problème majeur , c'est notre incapacité à réagir dans la durée aux dangers long terme : si le préfet annule un évènement important c'est pour se prémunir du danger immédiat et très concret du terrorisme ; pas du tout à cause des retombées CO2 ; ainsi paradoxalement les terroristes ont de meilleurs résultats écologique que les écologistes .
Aussi il y a des questions essentielles qu'on ne se pose pas et les JT sont devenus des magazines .
Ce ne sont pas tant nos désaccords qui nous empêchent d'avancer ,mais l'incapacité ou du moins le peu de goût à réfléchir collectivement globalement ; il n'y a aucun débat politique public sur la manière d'organiser la société de l'avenir en lien avec les enjeux climatiques et sociaux . Ou du moins , on fait semblant de s'en préoccuper en les introduisant dans le système en place , alors que c'est bien le système qui fait problème et qu'il faut interroger.
Plus ça va et moins je crois en notre capacité à penser et agir global et donc déployer du projet politique ; alors ,oui se faire plaisir en écoutant de la bonne musique ou autre .... Mais il m'arrive , pour en revenir à la télé , des moments où j'ai envie de prendre le poste et de le fracasser contre un mur .
"Ce ne sont pas tant nos désaccords qui nous empêchent d'avancer "
Pas d'accord, car c'est la priorité des urgences qui fait désaccord. Pendant que le gouvernement français fait le buzz sur la loi travail picrocoline ou l'UE sur les dettes publiques, Londres brûle devant Sailor et Lula...
http://www.allocine.fr/video/player_gen_cmedia=19407382&cfilm=5981.html
Oui c'est exact : nous ne parvenons pas à nous mettre d'accord : à l'urgence de l'un correspond l'urgence de l'autre ; ce qui revient à constater notre incapacité à penser et agir global ; le monde va sombrer et nous en tant qu'espèce ne parvenons pas à toucher le cœur de cible : élaborer un projet d'organisation des sociétés humaines autour d'un objectif alternatif : passer de l'exploitation à l'aménagement protection du milieu nourricier.
Ce n'est plus en terme national ou européen qu'il faut penser , mais en terme d'espèce menacée par des objectifs non conforme à la vie.
Le reste est insignifiant.
Il me semble que la télé dans les foyers, joue un rôle de substitut à la drogue. J'ai observé combien de (nombreuses?) personnes en fait, ne "regardent" pas la télé, mais l'allument en permanence. Comme une sorte d’exutoire au stress (croient-ils) ? Ou bien ce flux d'images leur apportent un semblant "d'action" peut être pour combler le vide, s'imaginer "vivre" les yeux rivés sur des images en mouvement rapide (société de l'accélération, cf Hartmut Rosa) ? Il faut croire que l'interactivité d'internet exige encore un travail pour certains qui préfèrent la "facilité" des images centralisées. Mais soyons optimiste: la télé en sa forme centralisée (flux d'images d'un pouvoir central vers des spectateurs passifs) sera amenée à disparaître pour et cède déjà probablement la place à une communication active en réseau. C'est aussi tout l'objet de la guerre (vaine ?) que livrent (et se livrent) les multinationales pour le contrôle du net. Personnellement je n'ai pas de télé, c'est inutile (et stressant). Je regarde ARTE de temps en temps sur internet, et j'organise comme bon me semble ma propre "programmation".
Non, je ne crois pas que la télé soit un substitut à la drogue mais plutôt une présence. J'avais été très étonné moi aussi de constater que pas mal de gens, surtout des pauvres ou peu éduqués, mettent la télé en permanence comme bruit de fond même quand ils reçoivent. Ce n'est pas une raison pour faire des autres des abrutis complets, les critiques contre la télé, la consommation, la modernité me semblent désormais ridiculement excessives. Les critiques de l'aliénation ne méritent pas cet excès d'honneur dont ils se persuadent, ni les masses cette indignité inhumaine et informe d'une sorte de bloom gobant tout ce qu'on leur fourre dans la tête.
La connerie est universellement partagée mais elle n'est jamais totale, nous n'y survivrions pas, et il y a si peu de confiance dans les médias ou les politiques que le soupçon alimente notamment les théories du complot si populaires, ce qui n'empêche pas de regarder la télé...
Je ne crois pas non plus qu'internet se substituera à la télé car ce n'est pas la même chose de voir une vidéo à la demande ou de voir ce qui passe à la télé, comme l'histoire en train de se dérouler sous nos yeux. C'est un peu comme regarder la vie au dehors, sortir de sa bulle (la radio aussi sert à ça, ce n'est pas la même chose que de mettre un disque). Certes, on peut toujours dire qu'il vaut mieux sortir vraiment et voir d'autres gens mais ce n'est pas forcément moins aliénant et tout dépend du moment.
oui une présence hypnotique et souvent rassurante et de bonne humeur , la télé nounou ( les psychotropes n'ont peut être pas d'autre fonction que celle là ?) , et aussi un peu la télé qui remplace le feu de cheminée ...
mais en se moment avec les JO c'est plutôt la dimension planétaire qui répond un peu à notre besoin de fraterniser et d'être fier de son pays ... mais il y a sans doute d'autre fonction jouée par la télé , notamment les programmes anti-tristesse , comme par exemple avec Stéphane berne ( et son émission l'après midi "comment ça va bien ") et d'autres que je ne connais pas
J'ai l'impression que le bruit ambiant, TV, radio, musique ambiante... est une sorte de calmant pour beaucoup, malheureusement pas pour moi, le bruit m'exaspère comme un trop plein à faire vomir.
Je regarde le 20 heures comme une sorte de résumé commun du temps qui court, un métronome plus ou moins bancale pour un orchestre foireux.
La TV couplée à internet permet de voir des émissions pas mal foutues et récentes, sur ARTE par exemple via Pluzz, sans être astreint à être présent au moment de la diffusion sur la TNT. Cette audience possible en léger décalage temporel est vraiment pratique, à rajouter la possibilité d'enregistrer des émissions sur disque dur externe d'un coup de clic via la box. Cette souplesse du web-TV est vraiment une avancée qui permet de suivre en souplesse les émissions qui peuvent nous intéresser, et même les stocker numériquement pour pas un rond quand on a le matos, pas si cher.
La télé est (comme le net ) un superbe outil de communication ; ce qui est en cause ce ne sont pas la performance de nos outils mais comme je l’ai déjà dit ,la société elle-même , ses objectifs et son organisation ; ce qui est difficile à supporter , du moins pour ceux qui souhaiteraient d’autres objectifs sociétaux , c’est que la télé par ses choix éditoriaux et méthode de diffuser l’info , conforte l’existant sans le remettre en cause , du moins sans donner aux spectateurs un cadre permettant la réflexion , c'est-à-dire la prise de distance d’avec le réel , son analyse , et une recherche prospective .
Bref la télé diffuse l’info pour des spectateurs consommateurs et n’est pas organisée et structurée pour la recherche sociétale ( la politique ) ; la citoyenneté n’y trouve pas son compte sauf épisodiquement sans réelle ligne éditoriale publique .C’est cette absence qui est criante et qui donne à la télé ce pouvoir de conforter le there is no alternative . La télé a en ce sens , dans l’usage qui en est fait , un rôle important dans la dépolitisation et donc le décervelage des citoyens et le fatalisme .
Une ligne éditoriale publique de qualité notamment au moment des JT changerait la donne de ce puissant média.
Ce qui fait l'intérêt du spectateur - qu'il soit ou non devant son poste - n'est pas tant le contenu de ce qu'on appelle abusivement "l'actualité", ce qui est désigné par les pouvoirs centraux, comme étant l’événement du jour, mais le fait que d'autres aussi regardent (ou sont censés regarder) la télé. Le rapport à la télé est un processus d'imitation des affects (qui produit en retour le rapport circonstancié à "l'évènement"), quand bien même il concerne des individus compartimentés: une "sérialisation" des individus. Ce qu'on appelle aussi l’opinion publique, cet objet indéfini fabriqué par les médias et censé représenté les positions communément partagées, est une construction de même type. Nul mépris dans ces propos, juste un constat froid et tranquille: d'ailleurs personne n'est à l'abri de ces processus, nous nous y identifions ne serait ce que de manière négative. Reste à penser et pratiquer un outil interactif "positif" branché sur "l'actualité immédiate" et démocratique.
Il y a effectivement dans la télé, et les médias en général, un caractère autoréférentiel : on regarde ce que d'autres regardent comme on clique sur une vidéo qui fait le buzz mais s'il y a encore quelques télévisions d'Etat, il est faux et contradictoire avec cet aspect d'en faire une pure construction de "pouvoirs centraux" et simple propagande alors que la dictature de l'audience en fait bien une co-construction où le téléspectateur est primordial. C'est pour cela que la télé nous ressemble et qu'Arte a si peu de téléspectateurs.
Il faut défendre une information de qualité et pluraliste mais on ne peut rien attendre d'une télévision qui serait intelligente, démocratique, voire révolutionnaire. Sur ce plan internet lui est bien supérieur sans apporter tellement plus, la libération de la parole qui était révolutionnaire en Mai68 n'est plus que bavardage et obscurantisme. L'audience des meilleurs sites est très loin des plus populaires.
La question est beaucoup plus fondamentale (cognitive) et se retrouve dans les divisions des gauches, les désaccords sur les analyses comme sur les solutions aussi bien que les processus dans lesquels nous sommes pris sans en avoir conscience. C'est pourquoi quiconque appelle à l'amour, la paix, l'unité, la solidarité, à l'action suscitera l'adhésion unanime et des débordements d'émotions, unanimité qui se disloquera immédiatement quand il s'agira de savoir où aller, que faire, la paix à quel prix et à l'avantage de qui, etc. Plus on est dans le général, le flou et moins on en sait, plus les solutions semblent simples, plus on s'approche du réel et plus on s'y cogne.
Nous sommes à l'intérieur de notre bulle d'ignorance, progressant presque malgré nous, en tout cas contre nos penchants naturels et la télévision n'en est rien d'autre qu'une manifestation dans son insignifiance qui donne de nous un portrait bien peu flatteur mais qui est plus proche de la vérité que la haute idée qu'on s'en fait (d'essence divine ou poète en symbiose avec son milieu).
Supposons qu'au lieu de bloguer nous soyons dans le jardin de Jean Zin à discuter des nouvelles et de l'actualité ; il se passe ceci et ceci et cela ; et que dans le même temps , un tigre échappé du zoo voisin passe près du jardin ; la logique voudrait qu'on s'exclame "un tigre !" et qu'aussitôt on s'abrite dans la maison. Mais si par souci d'information neutre , nous ne faisons qu'annoncer la proximité du tigre et passons à d'autres infos , il y a de fortes chance que nous soyons croqués.
Ce qui compte c'est comment on classe et délivre l'information, quel sens on lui donne ; et le fait de ne pas le faire , de ne pas prendre parti , de rester "neutre" est un choix éditorial libéral qui distille et soutien le libéralisme ; il ne s'agit bien sûr pas de défendre un choix d'état ; mais il serait bien venu de ne pas être stupide et pour conserver nos acquis de ne pas placer le tigre en priorité .
https://monarchuberalles.bandcamp.com/album/666