- Les antalgiques baissent la testostérone
Aspirine, paracétamol… Les anti-inflammatoires non stéroïdiens les plus célèbres pourraient révéler leur côté obscur : ils inhiberaient la production de testostérone (ainsi que des prostaglandines) chez l’Homme et seraient donc à ce titre des perturbateurs endocriniens. Chez le rat, cela se traduit par une féminisation des nouveaux nés mâles.
Cela n'empêche pas semble-t-il la corrélation entre prise quotidienne de petites doses d'aspirine et moins de cancers ou maladies dégénératives. Serait-ce justement grâce à la baisse de testostérone ?