J.J. Rousseau |
Politique
Si donc le peuple promet simplement d'obéir, il se dissout par cet acte.
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Pour une écologie révolutionnaire. |
Le Droit au Revenu Les textes de base sur le Revenu Garanti (Toni Négri, Gorz, etc.) La
libération du travail
Les Marxiens débarquent
La revendication de contrôle de notre monde, de notre environnement, de notre planète est d’abord la nécessité de contrôler l’économie "libérale", de lui donner une direction, des bornes, de choisir un développement soutenable répondant à une autre logique que celle des simples profits financiers immédiats. Ce projet n’a pourtant aucune crédibilité après l’effondrement du collectivisme et la démission de la gauche "socialiste". Il faut bien sûr en tirer la leçon que l’appropriation collective n’est rien que la dépossession de tous au profit de quelques potentats incompétents mais aussi que les députés ne changent pas la société si des mouvements sociaux de grande ampleur ne les poussent pas fortement. Le chemin qui nous reste est donc étroit mais ainsi bien balisé. Avec la correction de l’expérience historique, il reste dans la ligne de ce que Marx a défendu malgré le léninisme, l’irruption des pauvres, du prolétariat, du "peuple" dans l’histoire, acteur de sa propre histoire, maîtrisant sa destinée et affirmant sa dignité. La fin du capitalisme est la fin de l’économie devenue autonome et se retournant contre ses producteurs, c’est la fin de l’économie comme séparée de la société, c’est la fin de l’économie comme telle mais pas de l’initiative privée ni de la marchandise, ni du marché. Simplement le pouvoir économique est soumis à une autre logique où c’est la compétence qui prend le pas sur le Capital, les besoins sociaux sur la rentabilité immédiate. Les erreurs et les certitudes rigides seront ici l’obstacle à combattre fermement, ce ne sera pas la fin de l’histoire. Ce n’est pas encore la fin du travail comme extériorité, voire comme violence, mais déjà la réappropriation de sa propre activité dans le contrôle de ses effets. Il faut redonner aux gens la certitude qu’ils peuvent peser sur les événements et ainsi, formuler ce qu’ils veulent, ce qu’ils refusent vraiment. Être révolutionnaire c’est vouloir transformer le monde et pour cela prendre le parti du négatif, de la critique et de l’amélioration infinie, plutôt que s’illusionner de quelque utopie positive idéale et trompeuse. Être révolutionnaire, c’est vouloir être un véritable Citoyen et non pas un simple administré. 04/97
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Pour la réappropriation de notre vie quotidienne Quels sont les buts de notre action revendicative, morale ou révolutionnaire. Destruction de l'objectivité des sciences et du pouvoir (Sciences, économie ne sont que rapports sociaux). Identité de la philosophie et de la subversion (réalisation de la philosophie). Sur l'histoire de la philosophie et sur l'objectivation Critique des positions de Bourdieu (qui nous est proche).
Après une séance agitée, l'université critique a été fermée et un camarade expulsé de la Sorbonne.
Organe conscient du Parti Imaginaire. (Exercices de Métaphysique Critique) Critique du monde de la marchandise comme Spectacle. Le retour de la spéculation subversive. Quelques extraits de cette revue indispensable (à laquelle je ne participe pas, même si j'ai participé à des actions communes avec l'Université Critique) : |
Plans sur le futur (23/05/98) 4k, Vive les lycéens ! (16/10/98) 5k, La nature de la crise (29/10/98) 6k, Raisons d'un krach (18/03/99) 4k
Contre le plein emploi salarié
(03/99) 12k
Réponse au congrès de l'APEIS et au congrès
des Verts européens.
Propagande de guerre, citations de guerre, l'Europe
et la guerre (08/04, 23/04, 22/05) 40k
Notre impuissance face au désastre de la guerre.
L'adieu aux armes (12/06/1999)
5k
Avoir évité le pire ne justifie pas une
stratégie de bombardements moins efficace qu'une résolution
de l'ONU.