Revue des sciences 11/10

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Revue des sciences 10/10

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Revue des sciences 09/10

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Revue des sciences 08/10

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etc.

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Revue des sciences 07/10

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Revue des sciences 06/10

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ou comment nous faire gober n'importe quoi !

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Revue des sciences 05/10

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Revue des sciences 04/10

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Le savoir-vivre à l’usage des post-modernes

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C'est fou le nombre de gens qui voudraient nous apprendre à vivre, flics, curés, psychologues, éducateurs, philosophes médiatiques, etc. A cette foule innombrable, se joignent désormais quelques pseudo-révolutionnaires pontifiants et surtout les nouveaux écologistes qui nous font la morale et prétendent savoir ce qu'il nous faut : une vie naturelle et même pour certains une écologie mentale, mazette ! D'une certaine façon, on peut dire que cette pression sociale est inévitable mais si « le temps d'apprendre à vivre, il est déjà trop tard », c'est qu'apprendre à vivre, on ne fait que ça, c'est la vie elle-même et pourquoi il ne peut y avoir de véritable « savoir-vivre » en même temps que ce savoir nous constitue et se construit tout au long de notre existence avec son lot de ruptures, de retournements, de désillusions, de surprises.

Ce serait une terrible régression pour nos libertés de ne pas respecter une stricte laïcité sur ce sujet et, de même que les professeurs n'ont pas à se prendre pour des éducateurs mais à transmettre leur savoir, l'écologie-politique ne peut décider de ce que serait la bonne vie, devant absolument se limiter aux dimensions cognitives et politiques sans pénétrer aucunement dans l'espace privé auquel doit être laissé la plus grande autonomie.

Comme toute séparation, celle du privé et du public reste malgré tout relative et poreuse, ce qui était déjà sensible dans la médecine et ses enjeux biopolitiques mais se manifeste singulièrement de nos jours avec le féminisme ou l'écologie. C'est pourtant cette séparation entre morale et politique qu'on cherchera à maintenir fermement ici en montrant d'abord pourquoi il ne peut y avoir de véritable savoir-vivre (qui serait une vie déjà vécue) malgré ce qui se présente comme tel, puis, on essaiera de démêler dans les préceptes écologistes ce qui relève de la politique et ce qui relève d'un strict moralisme.

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Revue des sciences 03/10

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etc.

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Revue des sciences 02/10

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Revue des sciences 01/10

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Revue des sciences 12/09

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Revue des sciences 10/09

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Revue des sciences 09/09

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La condamnation à mort

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C'est un fait, le pouvoir médical est exorbitant de pouvoir décider de la vie et de la mort. On est certes un peu ébahi de voir des Américains traiter Obama de nazi sous prétexte que des commissions devraient décider de rembourser ou non tel ou tel traitement. On ne voit pas bien en quoi la sélection par l'argent qui prévaut sinon serait en quoi que ce soit préférable mais la mauvaise foi des Républicains, véritables Talibans de l'intérieur, agit malgré tout comme révélatrice d'un problème amené à prendre de plus en plus d'importance dans une société médicalisée et vieillissante : non pas celui de l'Etat nazi mais bien de l'euthanasie ! celui du pouvoir de vie et de mort qui est devenu l'apanage des médecins et du système de soins constituant un des fondements principaux de nos sociétés, y compris de la misère des pays surpeuplés, sans être suffisamment interrogé jusqu'ici dans ses contradictions et ses impasses.

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Revue des sciences 08/09

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Mélatonine et vieillissement

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Une étude sur la musaraigne vient confirmer le potentiel controversé de la mélatonine pour retarder le vieillissement et les maladies dégénératives, s'ajoutant à une liste déjà impressionnante de propriétés thérapeutiques (antioxydant, régulation du sommeil, dépression, diabète type 2, cancer...).

S'il ne faut jamais croire au miracle dans le domaine de la santé et qu'il vaut toujours mieux un suivi médical, le peu d'effets indésirables de cette hormone justifie qu'elle soit en vente libre dans la plupart des pays... sauf en France où elle est carrément interdite (!), du moins sous sa forme naturelle. Cet excès de précaution n'est pas seulement contre-productif, il est plus que louche, protégeant à l'évidence les intérêts des firmes pharmaceutiques plus que la santé publique.

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